Le premier trait, l’erreur permise à personne
Dans un sous-sol mal éclairé, entre potes, j’apprends à tatouer. Pas de tutos, pas de formations. Juste une machine, de la peau, et la pression de ne pas rater.
C’est là que je comprends : chaque trait compte. Chaque tatouage est une promesse qu’on n’efface pas.